A petaouchnoc

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Conseils contre les maladies pernicieuses (CANCERS)


Conseils contre les maladies pernicieuses, Cancer.

 

 

Traduit de l’allemand 

 

 

Note : La liqueur du suédois est compliquée à mettre en œuvre. Vous la trouverez par le net dans les pharmacies allemandes. Tapez Google.de. Vous ne parlez pas allemand, non problème. Utilisez Google translate. Choisissez votre langue d’entrée : français, et votre langue de sortie : allemand. Tapez votre texte en français. Mettez votre traduction allemande en vidéo inverse, c'est-à-dire en bleu, en tapant Ctrl-A ; copiez : Ctrl-V ! Pour finaliser, copiez votre traduction dans le message du site allemand si explications nécessaires : Ctrl-V. Passez votre commande.

 

 

Cancers, tumeurs, œdème, affections malignes, reins, foie, poumons, pancréas, rate, larynx, intestin, œil, langue, leucémie, foie, peau, sein, testicules, bas-ventre, vésicule, soins par les plantes, tisanes médicinales, vésicule, aorte, ovaire, matrice.

 

 

Note : Voir aussi l’article sur l’Aloes Arborescens. Je peux vous envoyer des feuilles fraîches qui poussent à flanc de volcans aux acores ou je suis en ce moment. Ici les plantes possèdent une vitalité extraordinaire. Tout ce qui pousse en France en dix ans (pays pourrit par la pollution de la terre, de l’air et de l’eau) pousse ici en deux ans : nulle pollution, pas d’eau fluorée ou chlorée et la pluie fait son œuvre. Je doute que l’agriculteur français qui vend des feuilles d’aloès de ses champs offre le même produit. (me contacter)

 

 

BAS-VENTRE, OVAIRES, MATRICE

 

On prépare journellement un litre et demi à deux litres de la tisane composite suivante: 300 g de souci, 300 g d’achillée mille-feuille, 6 à 8 cuillères à thé bien remplies pour la quantité journalière qu’il faut boire par gorgées réparties sur toute la journée. Trois cuillères à soupe de «Liqueur du Suédois» seront diluées dans de la tisane et prises une demi-heure avant et une demi-heure après chaque repas.

 

D’autre part, prendre trois bains de siège par semaine à l’achillée. L’eau du premier bain réchauffée et versée sur les plantes peut resservir 2 fois. Si le malade le supporte, on peut prendre un bain journalier. En cas de douleurs, faire en plus des emplâtres de prêle étuvée et des compresses de «Liqueur du Suédois».

 

Maria Treben, herboriste allemande renommée : « Voici une lettre d’une femme de R. (Allemagne) du 4 février 1980:

 

«J’ai le devoir de vous écrire pour vous remercier. En décembre 78, je me suis cassée 2 vertèbres et suis restée quatre mois couchée. J’ai donc eu le temps d’assimiler votre brochure. En février 79, ma belle-sœur, hospitalisée pour un cancer du bas-ventre, fut transportée chez elle comme incurable. Les médecins prévinrent mon frère que sa femme avait peut-être encore quatre semaines à vivre, on ne pouvait plus rien. Elle ne pouvait plus manger, la chambre était pleine d’une odeur de putréfaction. Alors elle a commencé avec les plantes indiquées dans votre brochure. Elle but chaque jour deux litres de tisane d’un mélange d’achillée, d’ortie et de souci. Matin, midi et soir, elle prit en outre une cuillère à soupe de «Liqueur du Suédois» diluée dans la tisane. Elle fit aussi des compresses de «Liqueur du Suédois» sur le bas-ventre. En peu de temps, elle reprit de l’appétit, put à nouveau s’alimenter et l’odeur de putréfaction disparut.

 

Des masses noires lui sortirent par la vulve quelque temps après. Elle fut terriblement effrayée. Mais c’était la délivrance. Aujourd’hui, elle a repris ses tâches domestiques, fait la cuisine et va se promener. Le médecin de famille qui avait eu communication du dossier médical de l’hôpital, n’avait encore jamais vu cela. Nous par contre, savons que ce sont les miracles de la Pharmacie donnée par la nature : une plante pour chaque maladie.

 

 

CIRRHOSE ET MALADIES DU FOIE

 

Une tasse de tisane de lycopode le matin à jeun et une autre tasse % heure avant le repas du soir, guérissent la cirrhose et les maladies malignes du foie. Ce traitement supprime très rapidement les difficultés respiratoires qui apparaissent dans les deux maladies.

 

Une cuillère à thé à ras bords de plante sera ébouillantée avec un quart de litre d’eau. Des compresses de «Liqueur du Suédois» sont à appliquer quatre heures par jour, des compresses de prêle cuite à la vapeur sont à appliquer dans la matinée, et l’après-midi, deux heures chaque fois, au repos au lit, ainsi que la nuit, sur la région du foie.

 

Il faut recouvrir les compresses avec des tissus isolants afin d’éviter un refroidissement par évaporation.

 

 

ESTOMAC

Il faut faire des applications de compresses de «Liqueur du Suédois» dans la journée pendant 4 heures, sur l’estomac. Si cela est possible au malade, il est préférable que ces applications ne soient pas faites au lit. Il faut couvrir les compresses avec, par exemple, une ceinture de flanelle, afin qu’un refroidissement par évaporation ne puisse se produire.

 

Durant la nuit, faire des cataplasmes de prêle étuvée. Si des douleurs apparaissent, on peut en sus faire les mêmes cataplasmes matin et soir, deux heures à chaque fois. Ces cataplasmes sont à faire au lit. (Voir Généralités à cataplasmes et enveloppements.)

 

 

En plus des enveloppements boire un litre et demi à deux litres d’une infusion de souci et d’ortie, de quantités égales, à boire réparties par gorgées sur toute la journée. S’il y a un début de cancer, prendre toutes les heures du SUC frais d’oxalis petite oseille, trois à cinq gouttes diluées dans la tisane.

 

Un ancien combattant m’écrit en 1979: «Libéré du camp de prisonniers en 1947, j’avais un cancer à l’estomac, je fus considéré comme inguérissable par trois spécialistes différents. Alors, je me suis tourné vers ce que notre Créateur a mis dans la nature et j’ai cherché les simples qu’il me fallait: ortie, achillée, pissenlit, et plantain.

 

J’en ai extrait le jus et j’en ai bu chaque heure une gorgée. Dès le début de la cure, j’ai senti un soulagement et mon estomac a enfin conservé le peu que j’arrivais à avaler. Cela m’a sauvé. Depuis, je m’occupe des simples et ai pu obtenir des guérisons quasi prodigieuses avec eux. Notre Créateur a vraiment mis des forces énormes dans la nature. C’est pour cela que vous voudrez bien comprendre que je me sens en communion profonde avec tous ceux qui pratiquent le Commandement de l’Amour du Prochain et qui obtiennent, avec les simples, miracle après miracle.

 

Ne vous laissez pas abattre par les attaques des forces négatives. L’immense joie de la guérison par les simples dépasse de beaucoup les imperfections humaines d’où nous viennent de telles difficultés.»

 

 

 

GLANDE THYROÏDE

 

Faire des gargarismes très profonds avec, en alternance, de la décoction de gaillet et de mauve. Faire des applications de plantes fraîches pendant la nuit. Les plantes lavées sont écrasées sur une planche avec un rouleau. On les met en place et on les maintient avec une bande. Si on ne dispose pas de plantes fraîches, les herbes qui ont servi à faire la décoction pour le gargarisme, seront réchauffées avec un peu d’eau, mélangées avec de la farine d’orge (maisons de produits naturels) puis la bouillie sera étendue sur une toile de lin qu’on maintient en place par une bande. Dans la journée faire, au lit, une application de prêle étuvée, pendant deux heures. D’autre part, poser pendant quatre heures une compresse de «Liqueur du Suédois».

 

De plus, boire chaque jour, par gorgées réparties sur la journée, un litre et demi à deux litres de tisane composite: souci, achillée, ortie, en quantités égales (par tasse: quart de litre, utiliser une cuillère à thé bien remplie du mélange). Une demi-heure avant, une demi-heure après chaque repas, boire la moitié d’une demi-tasse de tisane dans laquelle on aura dilué une cuillère à thé de «Liqueur du Suédois». Ces trois demi-tasses sont à prendre sur la ration journalière.

 

 

GLANDES LYMPHATIQUES

 

On remplit une bouteille jusqu’au col, sans tasser, de marjolaine de la dernière récolte et on couvre avec de l’huile d’olive vierge. On fait macérer au soleil ou dans un endroit chaud pendant 10 jours. Les glandes malades seront enduites avec cette huile de marjolaine et aussi, en alternance, avec de la pommade de souci et de l’huile de millepertuis.

 

Des feuilles fraîches de plantain, des feuilles de pétasite (le pétasite est de la même famille que le tussilage, ses feuilles larges et galbées le font remarquer au long des berges des ruisseaux et au bord des forêts humides), du gaillet frais, des tiges et des feuilles de souci, sont lavées, et encore humides, écrasées sur une planche avec un rouleau à pâte. Les plantes doivent être humides car l’eau résiduelle du lavage aide à extraire le suc des feuilles lors de l’écrasement au rouleau. On recouvre les glandes affectées d’un cataplasme fait avec de la purée de feuilles. Il convient d’essayer avec chacune des trois espèces, afin que le malade puisse se rendre compte de celle qui lui fait le meilleur effet.

 

Si une intervention chirurgicale avait lieu, on pourrait, outre les cataplasmes de feuilles fraîches, faire des compresses de «Liqueur du Suédois» pendant quatre heures et peut-être aussi des frictions avec cette même liqueur, ainsi que des emplâtres de prêle étuvée, à laisser en place deux heures, et rester au lit.

 

En médication interne, boire un litre et demi à deux litres de la tisane suivante: 300 g de souci, 100 g de prêle, 100 g d’achillée, 100 g d’ortie. Une cuillère à thé bien remplie par quart de litre d’eau. Cette tisane doit être bue par gorgées au cours de la journée. Ne pas omettre les trois cuillères à soupe de «Liqueur du Suédois » qui ont été recommandées dans les cures précédentes.

 

Nous en venons maintenant à la grave maladie glandulaire qui est une enflure avec durcissement des bras et des jambes, qui s’appelle éléphantiasis. Les bras et les jambes commencent à enfler fortement, deviennent insensibles et durs. Le malade a l’impression que ses membres deviennent des appendices en bois accrochés à son corps. Dans ce cas, on peut faire des emplâtres de feuilles comme précédemment en commençant les applications sur les glandes et en poursuivant, éventuellement, les applications sur les parties enflées. Il faut noter que contre cette maladie, les feuilles de berce (une plante perenne à fleurs en ombelles) ont une action particulièrement efficace.

 

La berce (Heracleum spondylium) est une plante vivace qu’on trouve dans les prés, sur les remblais frais, les pâtures, les lisières et les zones ombrées par les buissons. Les fleurs en ombelles sont blanchâtres, quelquefois rose vif. La plante tranche par ses feuilles dentelées et crochues, sur la végétation environnante des prés et des lisières. Les feuilles sont renommées pour être un excellent fourrage pour les lapins. La fermière, chez qui j’achète mon lait, m’a assuré que quand on donne du fourrage frais aux vaches, celles-ci cherchent toujours ces grandes feuilles pour s’en régaler tout d’abord.

 

Les feuilles de berce sont à récolter en grande quantité, à laver et à écraser au rouleau, encore humides. On les pose en emplâtre le soir et un bon bandage les garde en place toute la nuit. Elles apportent au malade un miraculeux soulagement malgré son état désespéré.

 

Le décocté à froid de mauve (fromagère) employé en bains, amène aussi un soulagement, car les bains font lentement régresser l’enflure des bras et des jambes. Le jus frais de l’oxalis (petite oseille) employé en frictions, apporte souvent de bons résultats (voir «oxalis»).

 

INTESTINS

 

Une cuillère à café à ras bords de racine de roseau odorant (acore vrai) est mise à macérer toute une nuit dans ¼ de litre d’eau froide. Chauffer le lendemain matin et passer au tamis. Boire une gorgée avant et après chaque repas, six gorgées en tout, pas plus par jour.

 

D’un autre côté, on prépare un mélange homogène de 200 grammes de fleurs de souci, 100 grammes d’achillée, 100 grammes d’ortie. Utiliser une cuillère à thé bien remplie du mélange par quart de litre d’eau. Préparer pour la journée, un litre et demi à deux litres de tisane par ébouillantage des plantes. Le malade doit se soigner en respectant très scrupuleusement l’heure d’absorption et boire toutes les 15 à 20 minutes une gorgée de tisane. Ainsi, la tisane est bien supportée par l’estomac. L’expérience montre que l’appétit est rapidement rétabli par la consommation de cette tisane.

 

D’autre part, avec une partie de la ration quotidienne de tisane, on prépare trois fois une demi-tasse de tisane, dans laquelle on ajoute une cuillère à soupe de «Liqueur du Suédois». Chaque demi-tasse est à boire par moitié avant, moitié après chacun des repas, à petites gorgées. Si le malade ne supportait pas une cuillère à soupe de «Liqueur du Suédois», on pourrait réduire cette quantité à une cuillère à thé. Conserver la tisane dans une bouteille thermos.

 

De plus, il faut faire des compresses à la «Liqueur du Suédois» sur tout le ventre. Pour cela, prendre un grand morceau d’ouate imprégnée de liqueur et l’étendre sur le ventre (ne pas oublier avant d’enduire avec de la pommade de souci). Des enveloppements à la prêle chaude lénifient aussi la douleur. Aussi faut-il les faire aussi souvent que possible, par exemple: deux heures le matin, deux heures l’après-midi, en position couchée, ainsi que la nuit .

 

L’abbé Kneipp, célèbre herboriste Suisse : « Le 1er octobre 1979 arrivèrent de Hambourg les époux Helmut et Berta E., pour me remercier de l’aide qu’ils avaient obtenue par mes conseils.

 

Madame Berta E., âgée aujourd’hui de 53 ans, avait fait une chute dans un escalier, à la suite de laquelle s’était développée une tumeur au bas-ventre qui lui causait de grandes douleurs. En janvier 1977, elle subissait une intervention chirurgicale dont le diagnostic était: tumeur inopérable en raison d’adhérences multiples. Elle resta 7 semaines en traitement hospitalier, perdit tous ses cheveux et rentra chez elle fin février 1977. A partir de ce moment, Madame Berta E. sut qu’elle était atteinte du cancer.

 

En novembre 1978, elle fut admise dans la même clinique où on lui fit une opération sur le côté droit du ventre. Elle resta hospitalisée 7 semaines encore. Au cours d’une visite médicale en février 79, on diagnostiqua, dans la partie haute, une grosseur tumorale de la taille d’une tête d’enfant. Le 20 mars, elle fut de nouveau opérée. Le diagnostic montra sans aucun doute qu’il y avait déjà des métastases. La patiente fut nourrie par voie intraveineuse pendant 5 semaines et aucune amélioration ne se manifesta. Même les nourritures liquides n’étaient pas conservées.

 

A cette époque, le médecin traitant avertit le mari que la situation de sa femme était sans autre issue possible que fatale. Une perte de poids rapide, de 80 à 62 kg, parla d’elle-même.

 

C’est à ce moment que cette femme vint me voir. Je lui procurais séance tenante quelques litres de «Liqueur du Suédois», des fleurs de souci, de l’achillée, et de l’ortie, ainsi que des racines de roseau odorant (acore vrai) dans une pharmacie de Hambourg.

 

Avec l’accord du médecin traitant de la clinique, des compresses à la «Liqueur du Suédois» furent appliquées sur tout le ventre. Les tisanes et les six gorgées de roseau furent bues régulièrement.

 

Dans les 48 heures s’installa un changement radical dans l’état de Madame Berta E. Contrairement à toute attente et causant l’étonnement des médecins et du personnel soignant de la clinique, une amélioration rapide se manifesta, si bien que 10 jours plus tard, le 24 avril, la patiente rentrait chez elle sur avis médical motivé par son rétablissement spectaculaire, ne devant revenir à la clinique que pour des soins épisodiques. Il faut dire que Madame Berta E. était si affaiblie qu’elle dut encore garder le lit plusieurs semaines.

 

La cure aux simples fut bien entendu continuée. L’amélioration se poursuivit semaine après semaine. L’appétit de la malade fut bientôt qualifiable de bon, si bien que la prise de poids continua à s’accentuer. Monsieur Helmut E. me communiqua plus tard par lettre du 8 août 79 que ce «Miracle n’était arrivé que par la Grâce de Dieu». Nombreux sont des amis et connaissances qui furent acquis aux simples par cette guérison. Il conclut sa lettre en disant: «Ma femme et moi, vous autorisons expressément à publier notre cas et, par là, à rendre à ceux qui en ont besoin, l’espoir de la guérison.»

 

LANGUE

Du gaillet frais haché menu est ébouillanté et infusé rapidement. Il faut compter 6 à 8 tasses par jour, par tasse (1/4 de litre une cuillère à thé bien remplie. On se gargarise aussi profondément que possible, puis on recrache la tisane. De temps en temps une gorgée de tisane doit être avalée. Les gargarismes doivent être faits très souvent tout au long de la journée. Les enflures diminuent très rapidement, les douleurs régressent souvent à partir du quatrième ou cinquième jour. Dans la plupart des cas, les irradiations deviennent inutiles. En se gargarisant, en se rinçant la bouche, en buvant de la tisane, le malade, dans un temps très court, se sent délivré de toutes ses affections.

 

LARYNX

 

Il faut pour les soins, disposer de mauve fraîche, car celle-ci perd un tiers de ses pouvoirs curatifs par le séchage. Il faut donc que ce soient des plantes fraîches que l’on met à macérer à froid toute la nuit. Il faut quatre tasses de préparation par jour pour boire, et six tasses pour se gargariser ou pour les lavages, soit en tout deux litres et demi.

 

Par tasse on utilisera une cuillère à thé bien remplie de cette plante, qu’on mettra le soir dans l’eau où elle restera jusqu’au lendemain matin. On chauffe légèrement, on tamise et on verse la décoction dans une bouteille thermos rincée à l’eau bouillante, et on chauffera à chaque usage la quantité nécessaire au bain- marie.

 

Quatre tasses seront bues par gorgées au cours de la journée, et six tasses utilisées pour des lavages ou des gargarismes. Ces dix tasses stoppent le cancer du larynx naissant, rapidement, même si la maladie est déjà à un stade avancé.

 

Les plantes utilisées seront conservées et le soir on les chauffera avec un peu de liquide. On les mélan­gera ensuite avec de la farine d’orge (dans les maisons de produits naturels) et on réchauffera. On étalera la bouillie chaude sur une toile de lin qu’on mettra en emplâtre sur le larynx. On enroulera d’une étoffe chaude (écharpe de laine, N.D.T.).

 

Déjà après le premier cataplasme, le malade ressentira un soulagement et souvent, après quatre ou cinq jours, l’extinction de voix disparaît. Le même traitement est appliqué pour les maladies du tube digestif. En plus des cataplasmes à l’orge, il convient de faire pour la nuit des applications de prêle cuite à la vapeur (voir prêle à utilisation) ainsi que des gargarismes profonds au gaillet (voir maladies de la langue).

 

 

LEUCEMIE

 

La tisane de composition:

20 g

d’Absinthe

30 g

de Souci (fleurs)

30 g d’Ortie

20 g

de Manna

30 g

de Chélidoine

15 g de Millepertuis

25 g

de Gaillet

15 g

de Pissenlit (racines)

30 g de pousses de Sureau

25 g

d’Achillée

25 g

de Reine des prés

 

De ce mélange on prend une cuillère à thé bien remplie pour un quart de litre d’eau. Boire au moins deux litres de tisane par jour. Il est important d’utiliser des plantes fraîches cueillies dans la nature, au moins une partie d’entre elles.

 

Les causes de la leucémie sont le plus souvent à rechercher du côté de la rate, aussi il est bon de prendre tous les jours, six gorgées d’infusion de racine d’acore vrai (roseau odorant), une cuillère à thé à ras bords de plante pour un quart de litre d’eau, mise à macérer toute une nuit. Chauffer le matin et tamiser. Boire une gorgée, % heure avant et % heure après chaque repas. 3 cuillères à thé de «Liqueur du Suédois» (on peut augmenter jusqu’à 3 cuillères à soupe) seront diluées dans 3 tasses de tisane. On boira une demi-tasse de ce mélange, 1 heure avant et 1 heure après chaque repas.

 

Des compresses à la «Liqueur du Suédois» sont à appliquer sur la région du foie et de la rate pendant quatre heures, ou, en variante, des cataplasmes de prêle cuite à la vapeur (voir articles correspondants). Tout ce qui est acide: citron, orange, pamplemousse, les jus de fruits, les fruits crus acides, les mets épicés et salés, la charcuterie et les viandes grasses sont à éviter. La compote de pommes peut être prise en toutes quantités.

 

 

Maria Treben : « Début novembre 78, des parents éplorés vinrent me voir avec leur enfant âgé à peine de 6 ans; Pierre W. de N. (Allemagne) avait une leucémie au dernier stade.

 

Cela avait commencé en mai 78 avec de la fièvre et des douleurs dans les jambes. Son état ne s’améliorait pas, Pierre fut hospitalisé onze semaines à Mannheim en juillet 78. A sa sortie de l’hôpital, aucune amélioration ne pouvait être constatée. Quand je le vis pour la première fois, Pierre n’avait plus aucun cheveu, était très pâle, fatigué et sans appétit. Il avait les yeux largement cernés. On voyait qu’il était devenu gravement malade.

 

L’enfant reprit vie dès le premier bain de thym (voir cet article) que les parents donnèrent sur mon conseil. L’eau du bain conservée peut être reversée sur les plantes et réutilisée pour deux autres bains. Il but aussi la tisane, comme indiqué en tête de chapitre. L’enfant, malgré son jeune âge, faisait attention à l’heure pour prendre chaque quart d’heure sa gorgée. Pour la nourriture aussi, il s’en tenait aux prescriptions de son régime.

 

Fin novembre 78, les parents emmenèrent le petit à l’hôpital de Mannheim pour une analyse de sang. Le professeur fut devant une énigme, la numération globulaire s’était fortement améliorée. A la mi-décembre, sa chevelure avait repoussé bien épaisse et il était retourné à l’hôpital pour un nouvel examen sanguin. Les médecins ne surent pas expliquer l’incroyable, l’insaisissable: la numération globulaire était supérieure à la normale.

 

En avril 79, Pierre et ses parents vinrent à la salle «Chiemgau» de Traunstein (Haute-Bavière) à une con­férence que je donnais. Ce fut un enfant en plein santé que je pus montrer aux 1800 personnes présentes. Aussi vous pourrez imaginer la densité des applaudissements qui éclatèrent quand je présentai l’enfant au public et que je racontai son histoire.

 

Fin octobre 79, ses parents et lui vinrent à une réunion d’information que je tenais à la salle Jahn à Pforzheim et à laquelle 2200 personnes assistaient. Je pus montrer un enfant rayonnant de santé au public. Pierre m’a écrit à Noël 79, il continue à boire régulièrement ses tisanes et la mère lui fait toujours des enveloppements à la «Liqueur du Suédois» sur la rate et le cou.

 

Elle lui passe aussi de l’huile de marjolaine (les glandes du cou avaient aussi été affectées par la mala­die). Il m’a envoyé un joli dessin où il a représenté avec ses crayons de couleur, la fleur de souci, l’ortie et l’achillée. Il a écrit en bas de la page «mes sauveurs», ce que je trouve exquis. Les parents lui font faire de temps en temps un contrôle sanguin, quoique Pierre soit devenu un garçon en pleine santé. Je pense que les contrôles médicaux sont de la première importance. Il est raisonnable de continuer à boire de la tisane et de poser des compresses, car cela protège d’une rechute possible de la grave maladie.

 

On boira tous les jours quatre tasses de tisane d’achillée, car l’achillée active la formation du sang dans la moélle des os. En outre, deux tasses de souci et deux tasses d’ortie seront bues comme dépuratif (dans la mesure du possible employer des plantes fraîches). Une cuillère à thé bien remplie de plante sera ébouillantée avec un quart de litre d’eau. Une cuillère à soupe de «Liqueur du Suédois» sera diluée dans une tasse de tisane et on boira, avant et après chaque repas, une demi-tasse de tisane.

 

On fera fréquemment au cours de la journée, des frictions avec de la teinture d’achillée (voir article achillée), avec de la teinture de racine de consoude et aussi avec de la «Liqueur du Suédois».

 

Si une tumeur s’est installée sur un os, on fera le traitement décrit à «tumeurs malignes». Si les douleurs provenaient de métastases, on traitera chaque endroit jusqu’à ce que les métastases disparaissent.

 

 

 

PANCREAS

 

Appliquer le même traitement que pour les affections intestinales.

 

 

 

PEAU

S’il s’agit d’une manifestation encore limitée d’une maladie de la peau, il sera fait appel au suc jaune orangé de la chélidoine majeure, dont on tamponnera fréquemment l’endroit atteint.

 

A tous ceux qui n’ont pas la possibilité d’aller chercher, dans la nature ou dans leur jardin, des feuilles et des tiges fraîches, je conseille de planter une chélidoine en pot.

 

Si la maladie a évolué de telle façon que le malade présente des plaies ouvertes et purulentes, avec des sécrétions d’odeur désagréable, il faut employer en alternance de la décoction tiède de prêle et de l’extrait froid de mauve en lotionnement ou en bain. Les bords de la plaie sont à enduire de suc de chélidoine et après que celui-ci ait pénétré dans la peau, on enduit autour de la plaie avec de la pom­made de souci (voir cet article). Des feuilles de plantain sont lavées puis écrasées en une purée qu’on étend directement sur la plaie. Si le malade ne supporte pas de suite cet emplâtre, il faut l’enlever, lotionner à nouveau la plaie, puis essayer de remettre l’emplâtre en place. Eventuellement il faut renou­veler ce processus, jusqu’à ce que le malade ressente agréablement l’apposition de l’emplâtre. On peut faire aussi pour la nuit des compresses de décoction de prêle ou de mauve.

 

En médication interne, on prendra une tisane dépurative, quatre tasses par jour, composée à quantités égales d’ortie, manna, souci et achillée. On ébouillantera dans 1/4 de litre d’eau une cuillère à thé bien remplie du mélange de plantes. Infuser rapidement.

 

Il arrive qu’après l’ablation de taches de naissance (angiomes) ou d’indurations cutanées, des plaies humides et purulentes s’installent et présentent une évolution maligne. Il faut alors leur appliquer le même traitement que pour les plaies ouvertes purulentes à odeur désagréable. Si les plaies se répartissent sur tout le corps, il faudra faire des bains complets à la prêle ou à la mauve. Le malade sera enveloppé la nuit dans une toile de lin sur laquelle on a répandu de la purée fraîche de feuilles de plantain.

 

Des maladies de peau se multiplient, caractérisées par des plaques croûteuses sombres. Dans ce cas, on procédera à des tamponnages fréquents de suc frais de gaillet (voir cet article) avec un bon résultat. Le suc sera conservé au réfrigérateur.

 

Une jeune femme de trente ans avait été opérée, à l’aisselle, d’une tache de naissance (angiome) qui avait brusquement pris de l’ampleur. Le caractère cancéreux se révéla alors. Quatre opérations difficiles durent être pratiquées, car les glandes lymphatiques étaient atteintes. Les plaies opératoires, profondes sous l’aisselle, étaient ouvertes et enflammées. La jeune femme était déjà incapable de s’occuper de son ménage et de ses enfants.

 

Des applications de purée de feuilles de plantain (voir article plantain), des lotionnements avec de la décoction tiède de mauve et de prêle, des bains complets de thym (200 g de thym par bain), une tisane composée de 300 g de souci, 100 g d’ortie, et 100 g d’achillée (1/4 de litre d’eau bouillante sur une cuillère à thé bien remplie de plantes — un litre de tisane par jour, bue par gorgées au long de la journée). Tous ces soins apportèrent une guérison rapide. Juste un mois après, les plaies étaient fermées et la jeune femme pouvait reprendre seule les travaux ménagers. Ce sont là les miracles de la Pharmacie de Dieu.

 

 

POUMONS

 

 

Boire tous les jours, par gorgées, 4 tasses d’achillée et en plus une tasse de prêle, à jeun le matin et une autre tasse % heure avant le souper. Dans la journée, mâcher des racines de roseau odorant (acore vrai); avaler le jus avec un peu de tisane d’achillée et recracher les fibres. Dans le cas où les douleurs se manifestent, il faut faire, la nuit, des applications de prêle cuite à la vapeur, et le jour 4 heures durant des compresses à la «Liqueur du Suédois» sur la poitrine et éventuellement sur le dos.

 

 

 

REINS

 

Le médecin naturaliste suisse, l’abbé künzle, recommande pour ces cas, la tisane suivante composée en parties égales de: solidage, ortie blanche et ortie jaune, gaillet. Prendre la valeur de quatre tasses par jour, par gorgées, tout au long de la journée. Par tasse utiliser une cuillère à thé bien remplie de plantes. Dans trois des tasses, ajouter une cuillère à thé de «Liqueur du Suédois» par tasse.

 

Faire des bains de siège à la prêle: 100 g de plantes par bain. Les plantes seront mises à macérer le soir dans l’eau froide. Chauffer le matin et ajouter la tisane tamisée à l’eau du bain. Garder l’eau du bain et répéter l’opération pour deux autres bains avec les plantes récupérées sur le tamis. Durée du bain: 20 minutes. Faire le soir sur les reins des applications de prêle étuvée qui resteront en place toute la nuit. Dans la journée des compresses à la «Liqueur du Suédois» pendant 4 heures (voir Généralités pour ces deux applications).

 

SEINS (suite d’une opération)

Le traitement est à faire après opération. Les cicatrices sont enduites jusqu’aux aisselles de pommade de souci (voir article souci). Les plantes, ayant servi à la préparation de la pommade, sont utilisables en emplâtre, quatre ou cinq fois de suite. Il faut les réchauffer auparavant. Elles agissent de telle façon que la peau devient lisse et reprend une couleur normale. L’application de la pommade de souci supprime les forts tiraillements douloureux qui ne manquent pas de se manifester, après une telle opération, et qui irradient jusque dans les bras. Si les glandes lymphatiques sont affectées, il convient de leur faire des emplâtres de feuilles de plantain fraîche, écrasées en purée (voir article plantain à utilisation).

 

De plus, il faut user d’une tisane composite: 300 g de fleurs de souci, 100 g d’achillée, 100 g d’ortie. Bien mélanger le tout et utiliser la valeur d’une cuillerée à thé bien remplie par • de litre d’eau. Pour un jour, il faut préparer un litre et demi à deux litres de tisane, que l’on boira par gorgées, au long de la journée. D’autre part, on préparera trois fois une demi-tasse de tisane à laquelle on aura ajouté une cuillère à soupe de «Liqueur du Suédois». Chaque demi-tasse est à boire, moitié une demi-heure avant, moitié une demi- heure après chacun des trois repas. A boire par petites gorgées.

 

Si des douleurs se manifestent, faire des enveloppements fréquents à la «Liqueur du Suédois» et à la prêle cuite à la vapeur (voir Généralités à ces articles).Tous les autres traitements indiqués à ces articles sont à faire si de nouvelles indurations apparaissent.

 

Les seins et les organes génitaux féminins étant en relation étroite, il convient de procéder ainsi qu’exposé à l’article «Maladies du bas-ventre».

 

Une femme m’écrit: «2 semaines après la naissance de mon enfant, j’eus des indurations dans les seins et une inflammation des mamelons, accompagnées de fièvre et de fortes douleurs. Une seule application, pendant une nuit, de compresse à la «Liqueur du Suédois» ont fait disparaître ces désagréments. Je suis paysanne et un jour je remarquai qu’une de nos vaches avait des grosseurs et une inflammation du pis. Je pensais que ce qui agissait aussi vite et aussi bien chez l’homme, devait être bon aussi pour les animaux. J’essayai donc le même traitement et fus agréablement surprise d’obtenir des résultats aussi satisfaisants.»

 

TESTICULES

 

Il arrive de plus en plus souvent que des hommes adultes, des écoliers ou des adolescents, soient affectés de cette maladie. Il est possible que la mode actuelle des pantalons très étroits en vogue chez les jeunes, soit responsable de cette maladie catastrophique. Souvent, dos semaines après une opération, apparaissent brusquement des douleurs avec enflures à d’autres endroits. Toutefois, il faut soigner l’endroit où la maladie s’est déclarée, donc la région des testicules. On fera le même traitement que pour les inflammations des glandes lymphatiques.

 

 

TUMEURS

 

L’abbé Kneipp nous avise dans ses écrits que toute tumeur, même maligne est stoppée dans son déve­loppement et régresse peu à peu sous l’action de la prêle. J’ai pu m’en convaincre. Pourquoi les livres de l’abbé Kneipp trouvent-ils si peu d’écho? Avec eux, à combien de malades menacés de mort, pourrait-on donner une chance de vivre! Et combien de peine pourrait-on épargner aux familles! (au détriment des portefeuilles de qui ? )

 

Mes observations sont toutes concordantes: les applications de prêle étuvée soignent le mieux les tumeurs. Prendre le contenu de deux mains bien remplies de prêle, le mettre dans une passoire et poser cette passoire sur un récipient où bout de l’eau. On peut utiliser un appareil à cuire les légumes et les pommes de terre à la vapeur. La prêle étuvée, ramollie et chaude, est enveloppée dans une toile en lin et posée sur la tumeur, l’enflure, l’ulcération, la cloque, l’adénome, le mélanome, le papillome ou l’héma­tome. Dans les cas très graves, on commence le matin par une application de deux heures au lit. On fait une deuxième application l’après-midi, toujours au lit, et on recommence le soir, pour la laisser en place toute la nuit. Il faut transpirer et rester au chaud. Les mêmes plantes réchauffées peuvent resservir trois ou quatre fois.

 

L’après-midi, faire une compresse de «Liqueur du Suédois» pendant quatre heures. Pour cela, enduire la peau de saindoux fin ou de pommade de souci, puis appliquer de l’ouate imprégnée de liqueur, une autre couche d’ouate sèche pour garder la chaleur, et une feuille de plastique, maintenir le tout en place avec une bande. Le pansement bien en place, le malade peut s’asseoir ou se déplacer dans la maison. Quand on enlève le pansement, il faut poudrer afin d’éviter des démangeaisons.

 

Pour les tumeurs, les enflures ou les ulcérations qui sont dans les couches extérieures de la peau, on appliquera de la purée fraîche de feuilles de plantain ou de feuilles de berce (voir «Maladies des glandes lymphatiques»). Ce traitement, régulièrement fait sans interruption, peut apporter une amélioration dès le cinquième jour et donner les meilleurs résultats 10 à 15 jours après son début. Le suc frais de l’oxalis, petite oseille donne aussi, en enduisant les parties malades, un bon résultat (laver les plantes et en extraire le jus à la centrifugeuse de ménage).

 

Le traitement interne consistera à prendre, le matin à jeun une demi-heure avant le petit déjeuner et le soir une demi-heure avant le souper, une tasse de tisane de prêle. Dans la journée boire 1,5 à 2 litres de la tisane suivante: 300 g de fleurs de souci, 100 g d’achillée, 100 g d’ortie, dans six des tasses bues, ajouter 3 à 5 gouttes de jus d’oxalis (entre chaque tasse avec oxalis prévoir une heure d’intervalle).

 

Une correspondante de Bavière m’écrit: «Je vous communique rapidement que notre voisin, un homme de 48 ans, père de quatre enfants, est sorti de l’hôpital avec une tumeur cérébrale et des manifestations paralytiques. Il était très malade et désespéré. Un côté de la face était atteint et la paralysie fermait complètement un œil. Comprenez bien combien nous avons été heureux quand, après quelques jours du traitement que vous préconisez dans la Pharmacie naturelle , l'œil s’est non seulement ouvert, mais aussi qu’un certain mieux s’est manifesté. Son médecin traitant l’a récemment visité et est resté figé de surprise en constatant l’œil ouvert et le mieux évident du malade. Il a avoué n’avoir encore jamais vu cela.»

 

Monsieur Joachim M. de B. (Allgau) a écrit le 25 juin 1979, à la rédaction d’un journal allemand (comme tous sans exception, aux ordres de Big Pharma) : «Les attaques lancées dans la presse allemande contre Madame Maria Trében me font vous signaler le cas de ma fille, Daniéla, née le 4 août 1973. Elle a été l’objet de tous nos soins, a subi tous les examens médicaux préventifs, a été emmenée en consultation au plus petit symptôme de maladie et malgré ces examens répétés, aucun médecin n’a su à temps, déceler la maladie mortelle avant qu’il ne soit trop tard.

 

Début août 1978, on découvrit le mal. Notre fille avait toujours été très vivante jusqu’à cette date qui marqua le début de son déclin. Elle devint de plus en plus absente et était toujours fatiguée. Après de multiples consultations qui n dégagèrent aucun diagnostic précis, nous fîmes entrer notre fille dans une clinique pour enfants, près d’Augsbourg. Après des journées entières d’examens divers qui surpassaient presque la résistance physique de l’enfant, on nous apprit que notre fille était atteinte d’une tumeur maligne incurable, dont on ne pouvait envisager la guérison avec les moyens actuels. Les chances de guérison furent estimées entre 2 et 5% afin de ne pas nous enlever tout espoir.

 

On commença les séances d’irradiation et les injections de cortisone pour tenter de réduire la tumeur à une taille opérable.

 

Début septembre 1978, une opération fut tentée. Elle fut interrompue dès son début, car notre enfant, en dépit des transfusions, serait morte exsangue. En effet, la tumeur avait essaimé dans tout le ventre et les organes importants — foie, vésicule, rate et les reins — étaient atteints ainsi que l’aorte et les artères fémorales qui étaient comprimées, ce qui nous fit comprendre pourquoi notre fille ne pouvait plus marcher.

 

Alors commença le martyre de l’enfant. Elle reçut cortisone et irradiations à jet continu. Vous ne pouvez pas vous rendre compte de ce que cela à été, pour nous, les parents. Pendant 7 longues semaines nous sommes restés au chevet de notre enfant à Augsbourg, nous forçant à sourire et sembler gais. Cela seul représente un effort psychique immense. Pendant ce temps, nous voyions de jour en jour l’enfant dépérir. Les irradiations et la cortisone faisaient qu’elle ne pouvait plus rien manger. Une semaine après l’opération, elle fit une jaunisse qui devint de plus en plus grave. Les médecins crurent d’abord que cette infection était consécutive aux transfusions de sang.

 

De nouveaux et nombreux examens, qui durèrent des heures, montrèrent que la tumeur affectait l’écoulement de la bile. Une nouvelle opération fut envisagée pour créer une évacuation artificielle de la bile. A ma question de savoir si cette nouvelle opération était indispensable, il me fut demandé si je préfé­rais que ma fille meure d’un blocage du foie. Cette opération eut été une simple tentative que l’enfant n’aurait vraisemblablement pas eu la force de supporter.

 

Enfin, les choses firent qu’à cette époque la salle d’opération était en cours de modernisation. Aussi le chirurgien préféra, bien que l’opération fut urgente, attendre la fin de l’aménagement de la salle d’opération afin de bénéficier de conditions optima.

 

Sur mon insistance, on nous autorisa à prendre l’enfant pour dix jours à la maison, puisque jusque là, on ne pouvait rien faire. C’était fin septembre 1978. Je n’avais attendu que cela. Par un ami, j’avais entendu parler de Madame Maria Trében et je lui avais téléphoné. Elle m’a donné par téléphone les conseils nécessaires pour soigner les tumeurs malignes.

 

Notre grande détresse ne nous laissait entrevoir aucune voie de salut, aussi nous ne pouvions envisager pire, tout changement ne pouvait être qu’en mieux. Nous avions appris entre temps, que les chances de survie de notre enfant s’arrêtaient à Noël. Madame Trében nous dit au téléphone qu’après cinq jours du traitement une amélioration devait se manifester. Le grand miracle se produisit.

 

La cinquième nuit, notre fille se mit à pleurer, ce qui nous surprit, car auparavant elle avait presque toujours supporté la douleur sans pleurer. Nous avons tout de suite été submergés de joie: que s’était-il passé? Le sang, qui n’arrivait plus dans les jambes du fait de la compression des artères, avait le passage libre et causait une sensation de fourmillement dans les jambes. Nous avions la preuve concrète de «l’attaque» des simples contre la maladie.

 

Peu avant l’opération prévue, nous constatâmes un déclin de la jaunisse et nous nous sommes opposés à l’opération. Entre-temps, à cause des piqûres, notre fille avait perdu tous ses cheveux.

 

Peu avant Noël 1978, nous sommes retournés à Augsbourg pour un examen au cours duquel le professeur, une sommité médicale en ce domaine, ne put rien déceler à l’examen clinique. Seul l’examen radio décela des taches de calcification. Ce qui nous donna un très grand espoir. Tout cela s’est passé en neuf semaines environ. Notre fille va maintenant très bien, elle est comme avant et nous devons aux seuls conseils de Madame Trében d’avoir à l’heure actuelle, gardé notre fille six mois de plus que les prévisions médicales ne le prévoyaient.

 

J’insiste sur le fait que Madame Trében nous a aidés d’une manière parfaitement désintéressée. Je suis donc particulièrement révolté par les attaques dirigées par la presse allemande, contre Maria Trében. C’est pourquoi je vous ai raconté notre cas. Pour mettre tout par écrit, je devrais rédiger un roman. Je voudrais encore une fois exprimer ma profonde gratitude pour l’aide généreuse que nous a apportée Madame Trében. Pour ma famille c’est un grand miracle qui s’est produit.»

 

Cette histoire semble promettre beaucoup et on pourrait penser qu’il ne pouvait plus y avoir de com­plication. La tumeur qui avait atteint tous les organes vitaux de la petite Daniéla et menaçait sa vie, avait régressé ainsi que toutes les adhérences. Et pourtant la fillette est morte plus de six mois après. J’appris cela, non par les parents, mais d’une manière très cynique, par l’intermédiaire d’un reporter qui hurle, à l’unisson avec la horde des loups de la presse allemande, lâchés contre moi. Que s’est-il donc passé après le rétablissement spectaculaire de la petite Daniéla qui l’a amenée à une fin inattendue? Le père m’écrivit environ six mois après. L’enfant eut brusquement de la fièvre, il a ajouté de suite que, après l’examen clinique du professeur, ils avaient interrompu la cure de simples, parce qu’ils ne pouvaient contraindre une si petite enfant à boire de la tisane. Non on ne le peut pas, mais les parents avec un peu d’astuce auraient pu convaincre l’enfant de prendre ses infusions. La maladie était mortelle, les médecins ne pouvaient pas guérir. Seules le pouvaient les plantes que la nature nous a données.

 

Avis important

 

Les grandes quantités de tisane qui sont préconisées doivent être respectées surtout pour les affections malignes. Ces quantités qui semblent élevées peuvent être facilement absorbées si on en boit une gorgée toutes les 15 à 20 min. Avant que l’estomac reçoive une gorgée, il a déjà évacué la précédente. Si l’appétit a disparu, les tisanes le rétablissent bientôt. La digestion se fait elle aussi bientôt normalement. Je tiens aussi les bains de thym pour très importants, surtout pour les malades affaiblis, même s’ils ont de la fièvre. Le malade en ressent une étonnante revitalisation qui souvent retourne la situation. Beaucoup de maladies cancéreuses incurables, déclenchent parfois la formation inopinée d’un œdème imposant. Interrompre alors la cure de tisanes conseillées et les remplacer pendant 5 jours par cinq à six tasses de tisane de prêle, à boire par gorgées réparties sur la journée. Si l’œdème régressait notablement à partir du troisième ou quatrième jour reprendre la cure des tisanes normales. Si l’œdème se manifestait à nouveau, reprendre la tisane de prêle comme précédemment. La règle d’or à ne jamais transgresser dans ces maladies est de se taire contrôler régulièrement par un médecin. Seul un médecin peut estimer exactement l’état de la santé.

 

 

 

 

 

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17/04/2017
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