A petaouchnoc

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Le poison du diable


Le poison du diable

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L’Asservissement par la Fluoration

ou

La Vérité sur le Fluor


J’ai vingt-sept petits-enfants ; en consé­quence, il m’a paru important de savoir si la fluoration pouvait leur être bénéfi­que ou non. Depuis 1925 j’ai entretenu des re­lations étroites avec les hôpitaux et la recher­che médicale ; je pouvais rencontrer facilement les hommes et les femmes reconnus comme les plus hautes autorités dans la recherche médi­cale et nutritionnelle.

 

Je transmets donc aux parents et aux méde­cins d’Amérique ce que j’ai appris sur le fluor et l’empoisonnement par le fluor, et je défie qui­conque des partisans de la fluoration de nier l’exactitude de ce que je publie.

 

Le fluor est le poison le plus mortel que l’homme connaisse. Sa nocivité et la difficulté à la maîtriser sont dues à ses affinités puissantes avec de nombreux autres éléments chimiques ; il possède une capacité remarquable à former des composés stables mais il cache aussi de terribles propriétés ou particularités mortifères. Le fluor est incolore, inodore et sans saveur. Les hommes de science, avant l’Ère Romaine, le désignaient sous le nom de « Souffle du Diable ». A la fin des années 1700, Scheele1 le dénomma [1]

 

‘tigresse du chimiste’. Henri Moissan1 fut le premier, en 1886, à l’isoler sous sa forme ga­zeuse. Puis, vers 1935, Joseph Simmons put l’associer à une molécule de carbone alors qu’il menait des recherches à l’Université d’État de Pennsylvanie. Les scientifiques allemands dé­couvrirent alors comment produire de l’essence pure de fluor, tellement mortelle que si une simple goutte entre en contact avec la peau d’un animal ou d’un être humain, celui-ci meurt aussitôt. Une des particularités peu connues du fluor est son aptitude à se déplacer le long des troncs nerveux et à paralyser le sys­tème respiratoire comme le fait aussi la polio­myélite.

 

Les scientifiques de l’Université de Toronto ont prouvé que le fluor ingéré par le corps hu­main finit par s’accumuler et devient nocif[2] [3] [4].

 

Quoiqu’il en soit des affirmations des parti­sans du fluor, il y a une différence notable entre le fluor naturel et le fluorure de sodium : le fluor naturel se trouve dans les feuilles et les fruits de tout le règne végétal. En revanche on extrait le fluorure de sodium lors de la fabrica­tion de l’aluminium ou des autres métaux.

 

Le Créateur a voulu que le fluor puisse se combiner avec d’autres éléments, dans la croûte terrestre, ce qui permettait de contrôler sa dangerosité. De petites quantités se déver­sent dans le sol et les eaux, du fait de l’érosion. Les plantes terrestres et maritimes, quant à el­les, absorbent de minuscules quantités de ce fluor par leurs racines et, à la suite de ce pro­cessus ‘miraculeux’ qu’est le métabolisme, le fluor se trouve déposé dans les feuilles et les fruits des plantes. Toutes les créatures qui se nourrissent d’herbe, de feuilles et de fruits in­gèrent ce fluor naturel.

 

« Fluorine Balance Studies on Four Infants » (Études du Bilan de Fluor sur Quatre Nourrissons) et de « Fluorine Balance Studies on Three Women » (Études du Bilan de Fluor sur Trois Femmes), études publiées dans le « Journal of Nutrition » (américain), vol. 53, n°2 de juin 1954. Ces études ont prouvé de manière concluante que la majeure partie du fluor ingérée par les êtres humains par le biais de la nourriture ou de la boisson est conser­vée par le corps.

 

Un être humain adulte qui suit un régime normal composé d’aliments naturels ingère de 476 à 706 milligrammes de fluor par jour[5].

 

La Nature (Dieu) a en effet prévu que le fluor a pour fonction de durcir petit à petit les structures osseuses. Lorsqu’un être humain, de l’enfance à l’âge adulte a bénéficié d’une ali­mentation naturelle, le niveau de fluor qu’on relève dans le corps en pleine croissance est parfait ; le durcissement de la structure os­seuse se fait graduellement et la personne ar­rive à une taille normale en possession d’os so­lides et d’une dentition non moins solide. Le manque de fluor naturel dans le corps, pendant la croissance, occasionne un ramollissement des os qui deviennent alors vulnérables aux at­taques de germes, ce qui se traduit par des ca­ries au niveau de la dentition, par la tubercu­lose et d’autres maladies qui affectent les os.

Trop de fluor, ingéré prématurément provo­que un durcissement anticipé du fémur et met un terme à la croissance[6] [7]. Il faut savoir que le fluor extrait le calcium des os.

 

Selon des chercheurs, les signes visibles d’empoisonnement par le fluor sont les sui­vants : des dents tachetées, mal placées, mal formées ; des racines trop développées ou dif­formes. En excédent, le fluor tend à provoquer des malformations des os de la mâchoire par réduction de la taille des alvéoles dentaires. Cette conséquence pernicieuse peut en arriver au stade où les canaux à l’intérieur de la dent finissent par s’obstruer puis empêchent l’arrivée du sang vers les nerfs à l’intérieur de la cavité dentaire. Les racines des dents fusion­nent avec les os de la mâchoire ; une extraction s’avère en conséquence difficile et fait courir le risque de briser la dent morte voire de l’extraire par morceaux.

Les dents mortes peuvent être la source d’affections telles que la ‘pyorrhée’ et la ‘gingi­viten. Les êtres humains n’étant pas physique­ment adultes avant l’âge de vingt ans, la Nature (Dieu) a prévu une double dentition : les dents de lait et les dents définitives. La première den­tition correspond à l’âge tendre ; la seconde doit durer toute notre vie. La première dentition disparaît au profit de la dentition définitive. Or, 1 ce remplacement ne pourra se manifester si l’on a ingurgité trop de fluor au cours de l’enfance ; raison pour laquelle certains fabricants de pâ­tes dentifrices fluorées avertissent les parents que tout enfant en-dessous de six ans ne de­vrait pas utiliser leurs marques.

 

Les chercheurs en Chimie Alimentaire ont ef­fectué des recherches sur des milliers de dents d’enfants, sur une période d’une quinzaine d’années. D’après ce que j’ai pu apprendre, le durcissement de l’émail n’est que le premier effet de l’action du fluor sur les dents des en­fants. Au fur et à mesure que le poison s’accumule, les dommages ci-dessus mention­nés se produisent et les dentistes doivent alors adapter un appareillage ou mettre en place de longs soins coûteux afin de corriger les dents mal positionnées ou abîmées. Aucune personne habituée depuis l’enfance à un régime alimen­taire sain, à base de denrées fraîches, non dé­naturées par des conservateurs ou divers pro­cédés de fabrication artificiels ne développe de caries. Les caries, les dents mal positionnées ou les mâchoires mal formées, inconnues des abo­rigènes, furent leur triste lot après qu’ils aient abandonné leur alimentation naturelle et fré­quenté la soi-disant civilisation1. [8]

 

Les scientifiques pensent qu’en bouleversant l’équilibre du fluor on peut occasionner des ef­fets très dévastateurs sur les dents, les mâchoi­res et les fémurs ; en outre, ces bouleverse­ments peuvent avoir très certainement des ef­fets nuisibles sur d’autres parties du corps humain à cause de la propension du fluor à se combiner avec ou à former des composés sta­bles.

 

De récentes recherches scientifiques fonda­mentales indiquent que le fluor exerce un ac­tion toxique lorsqu’il constitue des composés insolubles avec des éléments alcalino-terreux, en particulier avec le calcium (oxyde) et le ma­gnésium, éléments essentiels dans le processus de la vie. L’oligo-élément magnésium joue un rôle crucial dans l’action des enzymes (vitaux) essentiels à toute vie. McClure a prouvé que le fluor - même à proportion d’1/15 000 000° dans l’eau - paralysait les enzymes. Le Dr E.M. Josephson[9] déclare que lorsque les enzymes cessent d’agir il en résulte chez les enfants en bas âges, et les plus grands, des maladies telles que la Myasthénie[10], le diabète et le cancer.

 

On trouve par ailleurs une source de fluor dans l’utilisation des ustensiles de cuisine en aluminium. Les chercheurs m’ont expliqué que lorsque la nourriture est cuite ou conservée dans des ustensiles en aluminium, il se produit une réaction chimique qui libère des traces de fluor, absorbées par la nourriture et ingérées par ceux qui la mangent. A la suite de ces re­cherches, les archives hospitalières révélèrent que depuis que l’aluminium a pris la place du fer, de l’acier, du cuivre, de l’étain et de la faïence dans la préparation, la cuisson et la conservation des aliments, y compris les ali­ments préparés pour bébés, on a constaté une augmentation régulière du nombre de person­nes atteintes des maladies suivantes :

 

1)           Colites : troubles affectant les intestins et le tube digestif.

 

2)          Maladie Cœliaque : troubles af­fectant les organes au niveau du dia­phragme (liée à l’allergie au gluten).

3)          Maladie de Legg-Perthes : dé­veloppement interrompu et durcisse­ment prématuré du fémur et de la cuisse, ainsi que des articulations du genou, affectant les enfants qui arri­vent à l’adolescence. Cette maladie était extrêmement rare avant 1945. Depuis 1954, le Dr Alan Carrie, de To­ronto, a traité 120 à 140 cas tous les ans.

4)          La poliomyélite : paralysie des muscles qui contrôlent l’appareil respi­ratoire. La polio tue ses victimes de la même façon que le gaz de combat au fluor. L’atropine peut être utilisée comme antidote efficace dans les deux cas.

5)          La néphrose :   maladie des

reins, à la fois chronique et grave, gé­néralement diagnostiquée comme né­phrite. (On considère que la néphrite tue maintenant plus d’enfants en- dessous de l’âge de 15 ans que tout au­tre maladie médiatisée, y compris les différentes formes de tuberculose, de

 

polio, de rhumatisme articulaire aigu et de maladie cardiaque).

6)            La       Dystrophie Musculaire :

semble apparentée à la polio.

7)            Le    cancer, chez les enfants

(pratiquement inconnu il y a 30 ans).

8)            La      Mvasthenia Gravis (Myas­

thénie Grave), la mucoviscidose et la paralysie cérébrale :  toutes

s’attaquent aux nourrissons et aux très jeunes enfants, soit avant la naissance ou peu de temps après. Environ 10 000 bébés naissent chaque année avec une paralysie cérébrale ; 7 000 avec un mucoviscidose et 100 000 nourrissons développent une myasthénie grave.

9)            La       Bronchite et les affections

 

chroniques de l’appareil respiratoire : le Dr Léo Spira, M.D., Ph.D., M.R.C.S.[11], de Londres, Vienne et New-York, re­connu comme un des plus grands spé­cialistes du fluor, auteur du livre inti­tulé « The Drama of Fluorine », affirme catégoriquement avoir prouvé que des milliers de personnes dont les maladies ont été diagnostiquées sous une grande variétés de termes médicaux, souffrent en fait d’empoisonnement au fluor et ont ingéré plus de fluor que l’organisme ne pouvait en supporter. Il assure que les ustensiles en aluminium libèrent vraiment du fluor dans la nourriture, déclarant avoir guéri des milliers de cas d’eczéma (qui avaient résisté à toutes sortes de traitements pendant des an­nées) en conseillant tout simplement aux personnes atteintes d’arrêter d’utiliser leurs ustensiles en alumi­nium pour cuisiner. Le Dr Spira énu­mère encore d’autres symptômes ca­ractéristiques d’empoisonnement chro­nique au fluor tels que la constipation alternant avec la diarrhée, les troubles chroniques gastriques et duodénaux, les gaz, les furoncles, les ulcères, les ongles cassants aux mains et aux pieds, les bronchites[12].

 

Le Dr Victor Vaughan, qui fut pendant trente ans Doyen de la Faculté de Médecine de l’Université du Michigan à Ann Arbor, et le Dr A. P. Matthews, de la Faculté de Médecine de l’Université de Cincinnati, dans l’Ohio, confir­ment tous deux les effets dangereux du fluor, même lorsqu’il a été régulièrement ingéré en quantité infimes. Ils ont expliqué en détail, par-devant la Commission Fédérale du Com­merce comment le fluor, ce poison, agit et comment il s’attaque au sang, aux tissus et au système osseux du corps humain. Et aussi pourquoi la manifestation de symptômes aigus et les morts subites dépendent de la quantité ingérée à un moment donné, et en outre com­ment les quantités cumulatives provoquent des symptômes chroniques.

 

Ces chercheurs n’ont pas exprimé leurs opi­nions ; ils ont dévoilé des faits dûment prou­vés. Le Dr V. Vaughan déclare à propos du fluor la chose suivante : « J’affirme que la plupart de ces poisons sont transportés par le sang et la lymphe dans toutes les parties du corps, ou dans de nombreuses parties du corps humain, et qu’ils ont la possibilité d’être mis en contact avec toutes les fonc­tionnalités du corps... Ils exercent une ac­tion sélective. Ils peuvent se combiner avec certains tissus ; avec d’autres, non. Ils peu­vent ajouter des éléments étrangers ; ils peuvent soustraire des éléments ou ils peu­vent tout simplement réorganiser la struc­ture des tissus vivants. Il s’ensuit que le corps tente de se débarrasser de ces intrus (fluorures) et les évacue dans les intestins, ou bien, ils peuvent à nouveau être absorbés et recommencer un cycle ».

 

Ces témoignages expliquent pourquoi les au­topsies, pratiquées sur des animaux ou des êtres humains décédés d’empoisonnement chronique au fluor, révèlent presque toujours des signes de graves détériorations des intes­tins et du tube digestif. Et les reins tombent malades en essayant d’éliminer le poison. Ceci devrait suffire à expliquer au corps médical pourquoi les colites et la maladie cœliaque1 sont devenues si courantes chez les enfants et pourquoi les néphroses[13] [14] tuent plus d’enfants avant l’adolescence que tout autre maladie largement médiatisée.

 

Chittenden et Underhill, chercheurs de ré­putation mondiale, ont aussi découvert que le fluor ingéré avec la nourriture et la boisson dé­truit leur valeur nutritive en éliminant les vita­mines et les enzymes. McClure, autre autorité reconnue en matière de fluor, a signalé entre 1933 et 1936, que les jambes arquées, l’hémophilie, le rhumatisme ankylosant, la pyorrhée[15], les pertes de dents, le diabète, les malades rénales, la stérilité, la cécité due à la cataracte ou au cancer, et d’autres maladies encore sont attribuables au fluor, apparaissant naturellement dans l’eau. Ses recherches ont montré que chez un adulte moyen mangeant normalement, il y a une ingestion de l’ordre de 476 à 706 milligrammes de fluor par jour.

 

Les médecins et les dentistes qui préconisent la fluoration déclarent invariablement : « On sait peu de choses sur le fluor sauf qu’il n’est pas dangereux lorsqu’il est ingéré à raison d’une partie par million (PPM), dans l’eau ». En l’occurrence nous avons affaire à une demi- vérité : 1 PPM dans l’eau n’aura pas d’effets dommageables immédiats, mais McClure af­firme : « Une partie de fluor dans 15 millions

 

(d’eau) inhibe ou paralyse l’action des enzymes dont dépend toute vie ».

 

S’inspirant des découvertes de McClure, des chercheurs de l’Université de Toronto, et d’ailleurs, ont découvert à leur tour que le fluor ingéré avec la nourriture détruisait sa valeur nutritionnelle et provoquait la pellagre[16], ce qui signifie en langage courant des déficiences en vitamines et des carences alimentaires. Ils ont aussi confirmé les découvertes de Chittenden et Underhill. Le Dr Albert Matthews, quant à lui, a expliqué comment le fluor était responsable de toutes ces plaies devant la Commission Fé­dérale du Commerce des États-unis. Le registre 540 rapporte son intervention : « Le fluor se fond dans tous les éléments constitutifs essen­tiels des substances alimentaires appelés acces­soires alimentaires, substances ou vitamines, et les transforme ensuite de façon à ce qu ’elles ne puissent plus exercer leur action bénéfique habi­tuelle dans le corps humain ».

 

En d’autres mots, la fluoration n’offrirait pas seulement un débouché pour les usines qui fa­briquent l’aluminium et les autres métaux (sous-produits toxiques) ; elle accroîtrait les af­faires des fabricants de vitamines. Les dentistes

 

perdraient des clients en ne rebouchant plus les cavités creusées par les caries mais récolte­raient davantage d’argent en soignant les dents mal placées ou déformées chez les enfants, et aussi en soignant les pyorrhées et les gingivites des personnes d’âge moyen ou en arrachant les dents et les prothèses dentaires des personnes plus âgées. La profession médicale soignerait davantage de patients du berceau à la tombe !

 

Selon les autorités que nous avons citées, il apparaîtrait que tout être humain qui boit de l’eau fluorée s’approprie une quantité suffisante de fluor pour le rendre invalide et le faire souf­frir de tout autre forme de maladie, après avoir dépassé la cinquantaine.

 

Des traitements pourraient nous maintenir en vie plus longtemps mais ne nous guériraient pas des effets cumulatifs dangereux du fluor ! Les médecins gagneraient en outre plus d’argent en sauvant nos vies. Tous ces faits contredisent les affirmations des dentistes et des médecins qui recommandent le fluor : ils n’agissent pas de manière désintéressée !

Si votre médecin ignore la vérité sur le fluor, telle qu’elle est définie dans les Encyclopédies Médicales et les publications auxquelles nous avons fait référence, ce dernier est manifeste­ment incapable de diagnostiquer une fluorose aigue et chronique lorsqu’il est confronté à cette maladie. En conséquence vous ne pouvez plus le considérer comme votre médecin de fa­mille. Nous supplions, enfin, les mères d’Amérique du Nord de poser à leurs médecins traitants les questions énumérées ci-dessous, d’exiger des réponses satisfaisantes et surtout que ces réponses ne soient pas remises à plus tard :

 

1)            Si la recherche médicale n’avait pas relié le fluor au cancer, qui touche de plus en plus d’enfants, pourquoi donc les hôpitaux qui soi­gnent les patients atteints du cancer ont-ils arrêté d’utiliser des ustensiles en aluminium pour la préparation, la cuisson et la conservation des ali­ments ? Si le fluor (1 partie par million) n’est pas dangereux, pourquoi ces mê­mes établissements utiliseraient-ils de l’eau pure, même dans les zones fluo­rées ?

2)            Si ce que nous avons publié quant aux effets dangereux du fluor n’est pas la vérité, pourquoi les autori­tés médicales britanniques mirent-elles en garde le personnel médical, au mi­lieu des années 30, vis à vis du « Pa- blum », lui demandant de ne plus pres­crire ce médicament aux mères sur le point de sevrer leurs enfants et aux in­valides, en tant que produit sans exci­tants, sinon parce qu’il contenait un taux élevé de fluor ?

3)            Pourquoi le Gouvernement Bri­tannique a-t-il interdit le fluor sous toutes ses formes (y compris l’alun) et recommandé de ne plus l’utiliser en tant que conservateur dans les ali­ments et les boissons destinés aux êtres humains ? N’est-il pas vrai que pour se conformer à cette exigence, l’ordre britannique des médecins (ou des membres de celui-ci) a inventé un sevrage alimentaire de son cru qui éli­minait les farines animales comportant un taux élevé de fluor, taux qu’on trou­vait dans les formules précédentes ?

4)            Si le contenu fluoré du ‘Pa- blum’ (fabriqué ainsi jusqu’en 1954) ne s’était avéré dangereux pour les nour­rissons, les enfants et les adolescents, alors pourquoi la formule a-t-elle été changée et y a-t-on substitué du phos­phate de calcium tribasique à la place des farines animales ? Nous avons reçu en mai 1954 un lettre de M. Menzies, PDG de la Société qui fabriquait le ‘Pa- blum’, courrier qui confirmait nos di­res.

5)            Demandez à votre médecin s’il considère opportun de donner du ‘Pa- blum’ aux nourrissons, même en sa nouvelle formule, puisque M. Menzies, dans sa lettre, certifie que le nouveau produit contient encore 1,5 à 2,2 PPM de fluor.

6)            N’est-il pas vrai que les « Lois sur les Aliments » promulguées aux États-unis et au Canada autorisent une quantité de 0,2 PPM dans les ali­ments fabriqués et destinés à la consommation humaine ? S’il en est ainsi, pourquoi permet-on que le ‘Pa- blum’ soit encore vendu ?

Pourquoi les Gouvernements des États-unis et du Canada ont-ils interdit l’utilisation des ossements d’animaux ayant dépassé deux ans d’âge, dans la fabrication des farines animales[17] destinées à la consommation humaine si le fluor introduit dans les aliments pour bébés ou pour invalides n’était pas considéré comme dangereux pour la santé à cause de ses effets cumulatifs toxiques ?

 

N’est-il pas vrai que les colites, la maladie cœliaque, les néphroses, etc, ne sont que des termes généraux employés pour occulter les malades de l’intestin et du tube digestif; les maladies se situant dans la zone du dia­phragme et les maladies rénales qui ne seraient en fait que des formes chroniques et aiguës d’empoisonnement au fluor, notamment chez les nourrissons à qui l’on a donné des aliments pour bébés à haute teneur en fluor ?

7)            Comment pouvons-nous savoir

en toute certitude le taux de fluor dans les aliments destinés aux en­fants ?

8)            Enfin, et surtout, si votre mé­decin de famille reconnaît la vérité de nos propos, et l’accepte, demandez-lui alors pourquoi, au nom du Ciel, il ne conteste pas les arguments des parti­sans du fluor, qui veulent mettre ce « Poison du Diable » dans nos eaux po­tables ? S’il vous répond qu’il « n’en sait pas beaucoup sur le fluor et l’empoisonnement par le fluor », changez de médecin de famille et prenez-en un qui soit au courant.

Qu’il soit bien entendu que nous avons men­tionné le nom du ‘Pablum’ - ce médicament connu dans le monde entier - uniquement à cause de nos recherches.

Tout aliment pour bébé ou pour invalide est dangereux à partir du moment où il contient un taux élevé en fluor, supérieur à ce qui est auto­risé par la loi, c’est-à-dire 0,2 PPM.

 

Le Pain Fortifié

Assurez-vous que le pain fortifié[18] que vous donnez à vos enfants ne soit pas également bourré de fluor ! Renseignez-vous sur l’entreprise qui cuit votre pain pour savoir si elle utilise des farines animales dans la compo­sition de ses pains. D’après nos informations, sachant que les spécialistes des nourrissons ont introduit de la farine d’os dans leurs formu­les, de nombreux boulangers en ont fait autant, croyant bien faire et croyant améliorer leur gamme de produits.

 

Les déchets de fluor - un problème d’élimination

 

Bien avant l’Ère Romaine, les industries de fonte des métaux étaient confrontées à ce re­doutable problème. Très récemment, la Société des Aciers Américains a réglé quelque 900 créances estimées à un montant de 4 450 234 $ pour indemniser des éleveurs de bétail dont les animaux étaient décédés par empoisonnement au fluor, fait dûment prouvé par des chimistes spécialisés dans la recher­che ; poisons qui se trouvaient dans les déchets rejetés par les usines de l'US Steel Corporation, implantées dans les environs de Provo (Utah). Ces déchets avaient contaminé le fourrage et l’eau destinés au bétail.

Les chimistes de la Compagnie des Aciers ne s’étaient jamais douté que les quantités de fluor que contenaient la fumée et les autres déchets pouvaient s’avérer mortels pour le bétail en train de brouter à quelques kilomètres de là. Mais ce fut pourtant le cas. US Steel dut payer pour cette faute imputable à ses chimistes. Avant que le bétail ne meure, on observa l’évolution des symptômes caractéristiques des maladies que nous avons citées. N’ont-elles pas tué, ces trente dernières années, un nombre de plus en plus considérable de personnes ? C’est

 

bien là le trait caractéristique le plus intéres­sant de toute cette affaire !

Si ce que nous affirmons n’est pas la vérité pourquoi a-t-on institué des Fondations et pourquoi leur a-t-on donné l’autorisation de s’adresser au public sinon pour réunir des fonds destinés à financer la recherche ? Il fallait découvrir les moyens de guérir les maladies que nous avons nommées. A l’instar de nombreux chercheurs avec lesquels j’ai discuté de ces questions, je pense que ce serait bien meilleur marché et beaucoup plus profitable à l’humanité de supprimer la cause - le fluor - plutôt que de continuer à financer des recher­ches coûteuses afin de trouver les moyens de guérir les maladies qu’elle provoque ou aggrave.

Le numéro de « News behind the News »* de février 1958 consacré à la « Marée Rouge » - qui tua des millions de poissons dans les eaux cô­tières de la côte ouest de la Floride - rapporta [19]

 

que des chercheurs en chimie avaient sérieu­sement envisagé la possibilité que les déchets de fluor rejetés par les usines implantées dans la zone aient contaminé les eaux, gravement touchées, et pussent être une des causes prin­cipales sinon la cause réelle de l’hécatombe en vie marine. En étudiant sous cet angle, j’ai pu lire un rapport d’analyse sur le « Rondeau Mou­ton »!, poisson que l’on pêche dans les eaux cô­tières de la Floride, très apprécié pour sa chair succulente. Le rapport indiquait que ce poisson avait un taux de fluor de l’ordre de 59,2 PPM !

Malgré ces preuves, les partisans du fluor s acharnent à vouloir encore fluorer les eaux potables de St Petersburg2 ! Cette mesure a heureusement été interrompue en juillet 19583.

 

Dans le présent travail, nous avons limité nos remarques à expliquer pourquoi le fluor repré­sente un danger pour l’ensemble du corps hu­main et à en apporter les preuves. Tandis que [20] [21] [22]

 

je faisais des recherches sur la composition exacte du fluor, j’ai trouvé des arguments qui établissent formellement que les experts en nu­trition animale ont eux aussi commis des er­reurs épouvantables : les spécialistes de

l’enfance et les boulangers ont utilisé des fari­nes animales dans leurs formules d’alimentation pour nourrissons, pour invali­des, dans les pains fortifiés et... les fabricants qui ont commercialisé certaines marques d’aliments préparés pour animaux ont fait de même. Ce qu’on affirmait être bénéfique pour les bébés et les invalides aurait dû être bon pour les ‘chinchillas’ ! Or, un certain Mr W. R. Cox a écrit un ouvrage[23] racontant l’histoire de ses chinchillas et comment ils ont été tués par le fluor ; la recherche médicale ayant formelle­ment établi que la cause de leur mort était bien le fluor qui se trouvait dans leur alimentation très particulière...

 

Votre pharmacien peut confirmer la vérité

 

Si un de nos lecteur a encore des doutes sur la vérité des faits que j’ai rapportés sur le fluor, qu’il se rende à la pharmacie la plus proche et demande au pharmacien de lui laisser consul­ter son exemplaire du « Dispensatory of the Uni­ted States of America»1, 24° édition. Qu’il aille jusqu’à la page 1456 et il pourra lire : « Les fluorures constituent des poisons violents pour tous les tissus vivants à cause de leurs préci­pitations à l’oxyde de calcium. Ils peuvent in­duire une diminution de la pression artérielle, une chute de la pression artérielle et une paraly­sie généralisée. Une ingestion permanente de doses non mortelles (selon Soliman Pharmacol. 1421, 17, 197) provoque une cachexie générale[24] [25], une inhibition permanente de la croissance, des changements analogues au niveau de la denti­tion, et une ossature de plus en plus fragile ».

 

A la vieillesse, il arrive que les êtres humains ont ingéré une telle quantité de fluor, même dans leurs régimes ordinaires, que leurs os sont devenus cassants et fragiles1. Voilà pour­quoi les personnes âgées se cassent le col du fémur si facilement. C’est parce que le fluor ex­trait le calcium des os que les os des person­nes âgées ont de la difficulté à se ressouder après avoir été brisés.

 

Le ‘United States Year Book’[26] [27] de 1939, à la rubrique « Alimentation et Vie », pages 212-213 mentionne qu’ « il est particulièrement important d’éviter de prendre du fluor, de la naissance jusqu’à l’âge de 12 ans ». Pourquoi un avertis­sement aussi spécifique aurait-il été donné si ce n’est pas pour les raisons que nous avons ex­posées dans notre brochure ?

 

Le témoignage du Rév. Kenneth Goff

 

Le Révérend K. Goff[28] a signé la déclaration sous serment suivante, le 26 mars 1957, dans l’État du Colorado (Comté d’Arapahoe) par- devant le notaire Joe R. Atancio :

 

« A qui de droit,

Moi, Olivier Kenneth Goff, affirme avoir été membre du Parti Communiste et de l’Organisation des Jeunesses Communistes, du 2 mai 1936 au 9 octobre 1939. Durant cette pé­riode, j’ai agi sous le pseudonyme de John Keats et sous le matricule 18-B2. Mon témoignage par- devant les Autorités Gouvernementales est ré­pertorié dans le volume 9 du Rapport sur les Ac­tivités Anti-Américaines pour l’année 1939.

Tandis que j’étais membre du Parti Commu­niste, j’ai assisté aux cours des Écoles de For­mation Clandestines Communistes situées à l’extérieur de la ville de New-York dans le ‘Blues Hall’ et au 113 East Wells Street de Milwaukee, dans le Wisconsin. L’École de East Wells Street fonctionnait sous le nom d’École Eugene Debs, sous le tutorat d’Eugene Dennis, M. Sparks, Mor­ris Childs, Jack King et autres agents. On nous enseignait l’art du renversement révolutionnaire du Gouvernement établi.

 

On nous a appris comment démonter et remon­ter des ronéotypeuses pour assurer la propa­gande pendant la Révolution ; comment utiliser


les câbles de guidage et les conduites d’alimentation en carburant des avions de façon à ce qu’ils prennent feu ou s’écrasent au sol par manque de contrôle ; comment s’occuper des tra­verses et des rails de chemin de fer pour faire dérailler les trains et aussi comment empoi­sonner les réseaux de distribution en eaux potables.

Nous avons abordé en profondeur la ques­tion de la fluoration des eaux potables et de son utilisation en Russie comme tranquilli­sant dans les camps de prisonniers (mis en gras par nos soins, W.G.C.). Les dirigeants de nos écoles ont compris que s’ils pouvaient conseiller (ou verser) dans les réseaux d’alimentation en eau d’Amérique du fluor, cela entraînerait un état de léthargie dans le pays et rendrait la population docile pendant la phase délicate d’implantation du Communisme. Nous avons également discuté de la question d’avoir un dépôt de fluor (poison mortel) près des réser­voirs d’eau, ce qui constituerait un avantage au moment de la Révolution et nous donnerait l’opportunité de déverser ce poison dans les ré­seaux d’alimentation en eau. On ferait ainsi, soit mourir la population, ou bien on la menacerait d’extermination pour qu’elle accepte de se rendre et puisse boire de la bonne eau.


Nous avons étudié dans ces écoles le grand art de la Révolution ; notamment comment acca­parer les principaux services publics : éclairage, électricité, gaz et eau, mais les dirigeants ont bien saisi qu’une politique de fluoration des eaux, si elle était entreprise dans tout le Pays, constituerait la meilleure voie pour le succès de la Révolution »].

*

1 NDT : Dans son ouvrage « Brouillard Rouge sur lAmérique, (ESR), qu’on peut considérer comme la suite de « Des Pions sur l’Échiquier » (ESR) et dont <* La Conspiration visant à détruire tous les Gouver­nements et Religions existants » (ESR) constitue le résumé des deux, William Carr consacre une bonne part du chapitre XIV (‘La Conspiration dans les Sciences So­ciales), pages 293 et suivantes, au Poison du Fluor... Objet dun âpre combat dans le monde anglo-saxon la question du fluor subit un ‘black-out’ total en France à la même période ! '

Depuis les cris d’alarme de William Carr, on trouve sur Internet un certain nombre d’ouvrages consacrés à dé­noncer l’action malfaisante du fluor, ce fléau dont nous souffrons tous : actuellement nous sommes tous plus ou moins contaminés par le FLUOR !

 

Dans cet écrit captivant, Wil­liam Carr démontre que le Fluor est un des pires poisons jamais utilisés, responsable de nombreu­ses maladies. Sa brochure était justement sous-titrée « L’Asservis­sement par la Fluoration ou la Véri­té sur le Fluor » ; elle complétait parfaitement le chapitre qu’il avait consacré au fluor dans son livre « Brouillard                            Rouge          sur l’Amérique ».

 

Nous espérons que nos lecteurs seront édifiés par ce texte qui a dépassé le demi-siècle mais reste plus que jamais d’actualité. Il se­rait bon de le diffuser auprès de ses amis, parents, relations car il importe d’être sur ses gardes en ce qui concerne le fluor, poison très prisé par la Contre-Église, utilisé pour mieux chloro-former les po­pulations, à leur insu !...

 

1 NDT : Le Dr Emmanuel Josephson est l’auteur d’ouvrages fondamentaux dans les domaines de la santé et du mondialisme. Lires ses ouvrages : « Roosevelt’s Communist Manifesto » (1955) ; « The Truth about Rocke­feller, Public Enemy N°1. Studies in Criminal Psychopa- thy » (1964) ; « Rockefeller Internationalist. The Man who misrules the World » ; « The Federal Reserve Conspiracy and the Rockefellers » (1968) ; « The Strange Death of

de cinq ans il devient impossible d’utiliser une roulette : la dentition volerait en éclat !



[1] NDT : Carl Wilhelm Scheele (1742-1786) est un chi­miste suédois célèbre pour avoir découvert plusieurs éléments chimiques tels que le molybdène, le tungstène, et des composés chimiques comme le cyanure

d’hydrogène, le fluorure d’hydrogène, l’hydrogène sulfu­ré.

[3] NDT : Henri Moissan ( 1852-1907), né dans une fa­mille israélite de Paris, fut un chimiste français de re­nom, spécialiste des corps à hautes températures, Mé­daille Day en 1896, Prix Nobel de Chimie en 1906 ; connu pour avoir isolé le premier, le fluor... Comman­deur de la Légion d’Honneur, membre de l’Académie de Médecine (1883) et de l’Académie des Sciences (1891). Pour la petite histoire, la Poste a émis un timbre, en 1986, pour le centenaire de l’isolement du fluor.

[4] Les professeurs M. P. Ham et Doreen Smith du ‘Dépar­tement de Chimie Alimentaire’ sont les auteurs de

[5] Le Dr H. Trendley Dean, ancien Chef du Service de Santé Publique des E.-U. (Dentaire), publia une longue série de rapports sur les effets toxiques des fluors natu­rels sur les dents, de 1933 à 1949. Le Dr Webster, Chef de la Faculté Royale de Chirurgie Dentaire, de Toronto avait découvert bien avant ce dont le Dr Dean faisait état dans ses rapports...

[6] Machle, Scott & Largent : ’42 ; McClure : ’49 ; Ham & Smith : ’54.

[7]  Maladie connue sous le nom de ‘Maladie de Legg- Perthes’.

[8] Des praticiens dentistes m’ont écrit que badigeonner les dents avec du fluor les rend si fragiles qu’en l’espace

Franklin Delano Roosevelt » ; « The Unheeded Teachings of Jesus or Christ Rejected » (sur la secte des « Skopt- sis ») ; « Merchants of Medecine » ; « Breathe Deeply and avoid Colds » ; « The Thymus, Manganese & Myasthenia Gravis » ; « Glaucoma and its Medical Treatment with Cor- tin » ; « Near-Sightedness is preventable ».

[10] Grande fatigue musculaire.

[11] NDT : M. D. : Doctor of Medecine.

Ph.D. : Doctor [of Philosophy]

M.R.C.S. : Member of the Royal College of Surgeons (Membre de la Faculté Royale de Chirurgie).

[12] Des sources fiables m’ont informé que « Ceux qui diri­gent au Sommet » ont persuadé les Autorités Américai­nes de nommer le gaz fluoré (stocké à usage militaire) ‘gaz de combat’ de façon à ce que les propriétés diaboli­ques, mortelles, du fluor ne soient pas connues du pu­blic et ne mettent ainsi un terme à leur politique de fluo­ration des eaux potables. Le ‘gaz de combat’, vaporisé

par les militaires, extermine tout être vivant avec lequel entre en contact. L’Armée Allemande disposait dénormes stocks de ce gaz lorsqu’elle a capitulé. La rai­son pour laquelle elle ne l’a pas utilisé pour éviter la dé­faite et la capitulation sans conditions n’a jamais été rendue publique.

[13]       NDT : maladie Cœliaque ou intolérance au gluten.

[14]       NDT : maladie rénale s’accompagnant de lésions fré­quentes chez le jeune enfant, entre 1 et 8 ans.

[15] NDT :    maladie dentaire ; gingivite accompagnée

d’écoulement de pus et de déchaussement des dents atteintes.

[16] NDT : maladie due à la malnutrition et qui se mani­feste par les symptômes suivants : dermatite, diarrhée, et dans les cas les plus graves, par la ... démence !

[17] NDT : on a pu constater, en notre époque, le danger de certaines ‘farines animales’ données à des ... herbivores ( !) lors de l’Affaire de la ‘Vache Folle’...

[18]       NDT : pains auxquels on a ajouté, entre autres, de la Vitamine D, destinés aux personnes atteintes de caren­ces en vitamines.

[19] NDT : « Des Nouvelles derrière les Nouvelles » : petit bulletin mensuel fondé par William Guy Carr et la NFCL (National Fédération of Christian Laymen ; Fédé­ration Nationale des Laïcs Chrétiens) après la parution de « Pawns in the Game » et « Red Fog over America », dont les numéros sont bizarrement introuvables... Ce bulletin était destiné à compléter les deux volumes de W. G. Carr grâce à de pertinentes informations interna­tionales. Nous avons pu consulter, à titre personnel, quelques rarissimes exemplaires.

[20] NDT : ‘Sheephead’ ou ‘Rondeau Mouton’, espèce de poisson marin de la famille des ‘sparidés’, également appelé ‘Sparr Tête-de-Mouton’.

[21]       NDT : St Petersburg-[Clearwater] est une ville de Flo­ride qui fait partie de l’agglomération et de la Région Mé­tropolitaine de Tampa (grande ville située sur la côte occidentale de la Floride).

[22]       La mesure qui visait à fluorer les eaux potables a été rejetée et St Petersburg a de nouveau des eaux potables non fluorées.

[23] W. R. Cox : « Hello. Test Animais... Chinchillas ? Or You and Your Grandchildren » (1953, éditions Lee Foundation for Nutritional Research, Milwaukee, Wis­consin, 180 p).

[24]   NDT :    ‘Formulaire Pharmaceutique des E.-U.

d’Amérique’. Sorte de dictionnaire de la science pharma­ceutique, traitant des médicaments essentiels et des politiques pharmaceutiques.

[25]       NDT : ‘Cachexie’ : profonde diminution de l’état géné­ral d’un individu, en rapport avec une dénutrition sévère de l’organisme. Elle est souvent une des conséquences de l’anorexie majeure, du cancer, d’insuffisances cardia­ques, rénales ou hépatiques aux stades évolués, d’une maladie auto-immune ou d’une maladie infectieuse grave comme la tuberculose ou le SIDA. La perte de masse musculaire entraîne une immobilité (Internet).

[26]       NDT : on comprend mieux maintenant les ‘progrès’ de l’ostéoporose à cet âge...

[27]       NDT : ‘Livre de l’Année’ des Etats-Unis.

[28] NDT : auteur d’ouvrages anticommunistes mais sur­tout d’une brochure particulièrement importante : « Brainwashing. A Synthesis of the Russian Text- book on Psychopolitics » (Le Lavage de Cerveau. Une Synthèse du Manuel Russe de Psychopolitique ) consa­crée au ‘Lavage de Cerveau’ et aux Techniques de Contrôle Mental’ mises au point par les Soviétiques (La ‘Science Psychopolitique’). A étudier la plume à la main...


20/08/2016
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