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Retrouver la vue par le nettoyage du colon


Retrouver la vue par le nettoyage du colon

 

 

 

Entre la valvule iléocæcale et la jonction avec la prochaine poche située au-dessus d’elle, nous trouvons une région qui est associée aux yeux. Nous sommes, là encore, face à une situation très délicate. Le système visuel est en effet un miracle à contempler.

 

C’est un péché et un crime de considérer nos yeux et notre vue comme acquis, jusqu’à ce qu’ils s’affaiblissent ou deviennent aveugles. Cette région, plus que tout autre, mérite que l’on s’y attarde.

Notre système est en réalité trop complexe pour pouvoir être décrit de façon exhaustive dans un ouvrage aussi bref. Les yeux sont, pour simplifier, des facteurs qui contribuent à nous faire percevoir visuellement les objets qui nous font face. Comme cela se passe pour les oreilles, les vibrations énergétiques cosmiques sont les instruments permettant de transmettre au cerveau les formes et les couleurs pour qu’il les interprète par la formule « Je vois ».

 

La première étape visuelle fait intervenir la rétine, fragile membrane de l’œil qui constitue la fin, ou le prolongement final, du nerf optique. Bien qu’extrêmement fine, la rétine est formée de plusieurs couches : la couche pigmentaire qui, la première, enregistre la couleur, la couche nerveuse et, enfin, sept autres couches. L’état de chacune de ces couches influence la qualité et le niveau de la vue, à l’instar du calibrage de la lentille d’un appareil photo complexe.

 

La première couche de la rétine se compose de cônes et de bâtonnets qui transmettent, sous forme de messages, les vibrations de l’objet aux cellules nerveuses, au chiasma optique ou croisement en X des voies optiques, pour atteindre finalement le thalamus et le troisième ventricule. Ce dernier est un grand espace ouvert à l’intérieur de la tempe qui s’étend entre le thalamus optique et le cerveau (voir l’illustration de l’hypothalamus).

 

Pour expliquer la présence des cônes et des bâtonnets dans la rétine, il vous faut savoir que l’on en compte environ 125 000 000 (vous avez bien lu, 125 millions), en plus des 1 250 000 fibres du nerf optique. Il serait presque légitime de penser qu’avec une quantité aussi élevée, l’on dispose d’une large marge de sécurité en ce qui concerne la rétine, en particulier, et la vue, en général. Mais gardez à l’esprit que ces éléments infimes, microscopiques requièrent deux choses essentielles pour vous permettre de voir : alimentation et propreté. Ils ont abondamment besoin de nutriments naturels ainsi que de canaux excréteurs propres pour évacuer du corps les résidus toxiques. Avec le peu de temps et d’espace mis à ma disposition, il me serait trop fastidieux de vous décrire les voies que doivent parcourir les objets que vous regardez pour qu’ils soient transmis de manière précise au cerveau, afin que vous puissiez comprendre et interpréter correctement ce que vous voyez. Contentons-nous de retenir que la forme, les couleurs et la qualité optique des objets qui se trouvent dans notre champ visuel sont véhiculées par des impulsions vibratoires à travers le dédale de nerfs correspondant à chacun des objets, et que toutes ces impulsions s’organisent dans le cerveau pour qu’il puisse nous décrire en détail l’objet que nous percevons.

 

Il faut beaucoup d’années et d’argent à un ophtalmologue pour pouvoir un jour être à même de comprendre, évaluer et corriger les mécanismes de notre vue. Je n’ai rencontré qu’une seule fois un de ces spécialistes qui, connaissant son domaine de recherches, m’ait un jour déclaré : « Fais plusieurs irrigations du côlon, bois beaucoup de jus frais et reviens me voir dans deux ou trois mois. Je verrai alors ce que je peux faire pour toi ».

 

Ce conseil m’a été donné alors que je m’en retournais chez moi à Anaheim, en Californie, après une série de conférences qui m’avaient amené durant trois mois dans l’Est et le Sud des États-Unis. J’avais traversé le désert de l’Arizona dans un coupé décapotable tirant une caravane, sous 48 °C d’un soleil cuisant. La capote de ma voiture était vieillotte, rabattue et complètement ouverte. J’avais roulé jusque chez moi avec le toit abaissé et, une fois arrivé, j’avais le visage rouge comme une écrevisse. Le lendemain matin, je m’étais rendu à Los Angeles et était entré dans un magasin pour téléphoner. Je remarquai alors qu’en parcourant l’annuaire, je n’y voyais plus que des lignes noires : je ne parvenais plus à distinguer la moindre lettre ! Surpris, je réfléchissais à la situation lorsqu’une femme que je ne connaissais pas me tapota l’épaule et me demanda : « Quel fond de teint portez-vous ? Il fait tellement naturel ! » « Desert Sun [Soleil du désert, N.d.T.] », lui répondis-je. « Où puis-je le trouver ? », rétorqua-t-elle. « Traversez le désert de l’Arizona dans une décapotable sous 48 °C ! »

 

J’ai immédiatement contacté mon ami oculiste et j’ai ensuite suivi son conseil. J’ai effectué trois lavages du côlon en trois semaines et, en plus des autres jus et salades dont je me nourrissais, j’ai bu environ un litre par jour d’un mélange de jus de carottes-céleri-persil et de jus d’endives. Je suis retourné chez le spécialiste avant que le mois ne se soit écoulé et il a cru se trouver devant un miracle. Il m’a donné des lunettes que je n’ai portées que pour lire, pendant quatre ou cinq semaines. Un beau jour, en montant dans ma voiture, je me suis assis dessus sans le vouloir et je ne les ai plus remplacées depuis.

 

Ni les jus ni les irrigations du côlon n’auraient agi avec une telle efficacité s’ils n’avaient pas été associés. Il me faut mentionner ici les effets néfastes que peuvent engendrer les minéraux inorganiques présents dans l’eau sur le système visuel. L’organisme humain ne peut assimiler ces éléments de manière constructive. Le corps a besoin de minéraux, mais il doit les puiser des végétaux qui convertissent les éléments inorganiques de la terre en nutriments vitaux. En l’espace de quarante ans environ, 100 à 150 kilos de calcaire passeront dans le corps d’une personne qui boit tous les jours un demi-litre à un litre d’eau de source, du puits ou du robinet. Elle en éliminera heureusement la plupart, mais elle en retiendra quand même un peu. Tôt ou tard, un problème apparaîtra au niveau de la partie du corps sur laquelle ce résidu viendra se déposer. Bien trop de crises cardiaques peuvent être causées par ces éléments inorganiques qui obstruent les vaisseaux sanguins. Il se pourrait même que ces minéraux inorganiques contribuent au développement de varices. Le système visuel est lui aussi exposé à des problèmes de ce genre, et la solution consiste à n’utiliser que de l’eau distillée à la vapeur. Dans mon livre Water Can Undermine Your Health [L ’eau peut ruiner votre santé, N.d.T.], vous trouverez les informations nécessaires pour vous prémunir contre ce danger. Les jus de fruits et de légumes frais sont bien évidemment composés d’eau pure, distillée de façon naturelle. Gardez à l’esprit que le corps humain est constitué à 75-80 % d’eau distillée.

 

Presque toutes les personnes qui jouissent d’une bonne vue tiennent leurs yeux pour acquis, ce qui est une grave erreur. Si nous ne prenons pas soin de nos yeux, nous nous exposons à divers problèmes dans le futur. Le fait est que personne ne peut imaginer perdre la vue. Presque toutes les personnes âgées dont la vue s’est affaiblie pourraient vous raconter un épisode lié au fait qu’elles n’ont pas accordé à leurs yeux l’attention qu’ils méritaient. En même temps, ne perdez jamais de vue non plus que l’état du côlon participe trop souvent des problèmes visuels.

 

Il y a quelques années, j’avais un ami à New York qui avait dépassé la cinquantaine et était capitaine à la retraite des Scottish Highlanders. Lorsqu’il vivait en Angleterre, il jouissait d’une vue parfaite mais, une fois transféré aux États-Unis, il s’était mis à consommer trop d’aliments frits et raffinés, sans réaliser qu’ils lui causaient du tort. Il commença à souffrir de constipation, ce qui ne lui était jamais arrivé en Écosse. Il me raconta un jour qu’il avait des problèmes aux yeux : « Je me demande si les efforts que je dois faire aux toilettes pour me débarrasser de cette maudite constipation n’ont pas d’impact sur mes yeux. » Je lui répondis que la constipation contribuait, sans l’ombre d’un doute, au problème de rétine auquel il faisait allusion. Ces paroles lui forent confirmées par l’oculiste compétent vers lequel il se tourna.

 

Ne sous-estimez jamais l’importance d’un côlon propre. Rappelez-vous qu’il vaut mieux prévenir que guérir : faites tout votre possible pour éviter de perdre la vue et de souffrir de sénilité précoce.

Source : Norman Walker La santé de l’intestin

 

Tags : soins des yeux, meilleur vue, santé de l’intestin, méfait de la constipation, Retrouver la vue par le nettoyage du colon

 

 

 


14/08/2019
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